Notre bureau d’études en environnement accueille depuis un mois un étudiant stagiaire. Comment se passe le stage ? Qu’en pense-t-il ?
La parole au stagiaire !
Pour beaucoup d’étudiants, un stage constitue une première expérience professionnelle.
Aujourd’hui, notre stagiaire Victor prend la parole ! L’objectif est multiple :
- S’exprimer sur le déroulement de son stage d’insertion professionnelle, déjà à moitié accompli ;
- Dresser un bilan de cette première approche de l’univers professionnel ;
- Transmettre ce retour d’expérience aux étudiants éventuellement intéressés.
Nous lui avons donc posé 4 questions auxquelles il a répondu tout à fait librement !
Quelles sont tes attentes personnelles vis-à-vis de ce stage en bureau d’études ?
Figurez-vous que dans mes études, faire un stage n’est pas obligatoire. Alors pourquoi se forcer, sortir de la chouette routine estudiantine ?
Premièrement, j’avais envie de quelque peu sortir du cadre (ultra) théorique de mes cours universitaires. Je recherchais une expérience concrète qui me permettrait :
- De me confronter au monde professionnel ;
- Et donc d’être face à des enjeux bien réels.
En tant qu’étudiant, la vie d’après (= la vie professionnelle), c’est quelque chose d’obscur, qui peut paraître rebutant.
Par ailleurs, il faut également être conscient de la plus-value d’une telle expérience sur un CV !
Comment s’est passé ton accueil en tant que stagiaire au sein de l’équipe ?
La veille de mon premier jour, mon père m’a dit : « Tu verras, la première semaine c’est savoir se lever et connaître les gens ». Il ne pouvait pas avoir plus raison. Dans un nouvel environnement, les premiers jours ont leur importance parce qu’ils sont souvent révélateurs de la suite.
Après les présentations et la visite du coworking, j’ai rapidement été intégré dans différents projets. Au début, les explications m’ont paru très denses et mes premiers pas dans l’univers des règlementations ont été compliqués. A l’inverse – et heureusement ! – la bienveillance et l’enthousiasme de l’équipe m’ont tout de suite rassuré. Ici, le travail est rigoureux mais dans une ambiance chill.
Quelles sont tes premières découvertes professionnelles en bureau d’études ?
Après un mois de stage, je peux dire que mon envie de concret est clairement assouvie. En plus des connaissances transmises par l’équipe d’Advista qui me permettent d’acquérir de nouvelles compétences, je sens l’utilité de mon travail. Ce stage complète aussi mon cursus universitaire en liant le savoir, la méthodologie et les visites de terrain. En effet, mes études m’avaient préparé à la gestion de projets mais ne m’avaient enseigné que les grands principes théoriques des évaluations environnementales.
Concernant le terrain, spéciale dédicace au dépôt de tram et à la visite des toits au centre-ville !
De plus, j’ai également beaucoup appris sur le fonctionnement interne d’une boîte privée qui essaie de porter une gestion entrepreneuriale alternative. Pas de hiérarchie ou de règles rigides ici. Au contraire les piliers de l’entreprise sont l’autogestion et l’intelligence collective. Ça n’a l’air de rien à première vue mais ce genre d’organisation horizontale est bien plus motivante au quotidien.
Quel est le bilan de ton expérience de stage à mi-parcours ?
Vous l’aurez compris, réaliser un stage chez Advista a clairement été le bon choix pour moi. Promis, je n’ai subi aucune pression pour dire ça !
Je me sens utile et c’est le genre de première expérience professionnelle que j’espérais avoir. L’équilibre entre d’un côté, être cadré dans mon travail et de l’autre, la totale autonomie marche plutôt bien pour moi.
Néanmoins, un mois c’est court ! C’est évident qu’il me manque encore beaucoup d’expérience. D’ailleurs ce sera toujours le cas après la fin de ce stage, mais un petit peu moins et ce « un petit peu moins » me satisfait grandement.
Pour le mois qui reste, mes objectifs sont de garder ma proactivité et d’étendre ma curiosité aux autres domaines de spécialité d’Advista.
En conclusion ?
Ce stage est une solide parenthèse d’apprentissage professionnelle et humaine dans ma formation universitaire.
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Merci Victor !